Résumé : Cet article propose une nouvelle transcription et une présentation de deux parodies de chansons par Tristan Corbière, dont les manuscrits étaient perdus depuis les années 1920. L’objectif est de rendre, autant qu’il est possible, leur lisibilité et leur saveur à des textes rarement pris en compte par la critique. Sont donnés notamment les mélodies et les textes des chansons avec lesquelles ces parodies produisent leur sens spécifique.