Résumé : Depuis la publication des Correspondances la critique la plus informée ne résiste pas à la tentation de relier ce qui refuse de se plier à une interprétation englobante du poème. Cette relecture souligne pour sa part un petit détail du sonnet qui sonne faux mais, comme un os fossile, « chant[e] les transports de l’esprit et des sens ». Baudelaire contemple ainsi les sciences naturelles et poétiques de son temps, et leurs perpétuelles (non-)correspondances.