Résumé : Dans L’Astrée, H. d’Urfé tente de concilier la lecture salésienne de la tempérance à l’héritage philosophique platonicien ou aristotélicien. Si les différents personnages illustrent volontiers certains aspects de ce débat, c’est sans doute le « sage Adamas » qui incarne le mieux cette vertu de tempérance.