Résumé : Le présent article s’inscrit dans le cadre d’une réflexion autour de la problématique de médiations socioculturelles posées par la traduction des textes juridiques. Il observe les contraintes et les contextes liés à la nature même du texte, et sont susceptibles de générer un excès de prudence dans le domaine des équivalents culturels et cela à travers l’analyse du Code de la famille marocain, Al-Mudawwana, en langue arabe et sa traduction en langue française.