Résumé : Le long passage des aventures de Brunor, lisible dans les tomes 2 et 3 de l’édition Curtis et partiellement dans le tome 1 de l’édition Ménard, connaît une version minoritaire, peut-être trop abruptement disqualifiée. Cette contribution revient sur l’intérêt et les traces d’ancienneté de cette version transmise par deux manuscrits anciens et souligne le caractère réversible des arguments de priorité développés jusqu’à présent.