Résumé : L’auteur réfléchit à l’importance qu’a revêtu pour lui et pour d’autres collègues et amis italiens le groupe de recherche Sociétés, Religions et Laïcités. Après tant d’années de fréquentation parisienne, l’auteur se demande « quel type de recherches en sociologie des religions aurais-je développé si je n’avais connu ce groupe d’amis et de collègues français ? ». C’est en tentant de répondre à cette question que l’auteur a voulu rendre un hommage informel au GSRL.