Résumé : Alors que l’appartenance religieuse semble redevenir un facteur central de l’identité des individus, les contestations opposées par certains États à l’altérité religieuse et/ou culturelle se développent conjointement à la poursuite de la pluralisation religieuse et culturelle des sociétés. Ces revendications au nom de la liberté religieuse et/ou de la protection des religions sont-elles assimilables aux combats historiques pour les droits humains ou bien en constituent-elles un dépassement ?
Mots-clés : Déclaration universelle des droits de l’homme, liberté de religion et de conviction, liberté d’expression, blasphème, diffamation de religions