Résumé : La métaphore du miroir est récurrente chez Giovan Battista Andreini. Dans Lo schiavetto (1612), Andreini multiplie les expédients scéniques pour la décliner et briser ce « miroir de la vie humaine » qu’est à ses yeux la comédie. Il faut alors étudier les voies métathéâtrales originales qu’il met en œuvre pour passer de l’autre côté du miroir, et s’interroger sur les motivations et les effets, en termes d’esthétique théâtrale, de cette construction-déconstruction.