Résumé : Le quatrième Memorandum, est un singulier « journal de voyage » (un séjour à Port-Vendres) dont l’absence de destinataire fait un étrange soliloque. Il se donne comme programme une appréhension sensible du monde, autour de « moments à fixer », et représente ainsi un remarquable exemple de « littérature des images ». Le texte est ponctué « d’impressions », qui curieusement « absentent » les compagnons du séjour, et la présence de l’Ange blanc, dans la mélancolie frileuse d’une sorte de tourisme.