Résumé : Dans certaines musiques, musique et silence, en une solidarité absolue, ouvrent un espace équivoque qu’on pourrait qualifier d’imaginal. Cette présentation, s’inspirant de la définition qu’Henry Corbin donne du mundus imaginalis, aborde ce qu’est l’« espace musical », comment il se construit au sein de la composition, et comment il devient coextensif – le temps que dure la pièce musicale – à l’intériorité de la personne qui écoute.