Résumé : D’éminents malruciens ont scruté l’intérêt de Malraux pour Baudelaire, le critique d’art, l’auteur des Phares et des Curiosités esthétiques. En revanche, L’Homme précaire et la Littérature met en lumière le poète et « le théoricien de la poésie », en pointant une intuition de la métamorphose. Les réminiscences baudelairiennes dans les romans de Malraux et ses analyses dans L’Homme précaire témoignent d’une perspicacité étonnante vis-à-vis du théoricien ignoré.