Résumé : Relatant sa remontée de la Marne, à pied, de sa confluence avec la Seine jusqu’à sa source sur le plateau de Langres, Jean-Paul Kauffmann la présente – explicitement bien que sans esprit de sérieux – comme une « anabase ». Le sens, pour son imaginaire, de ce mouvement vers l’amont s’avère effectivement essentiel ; il nous semble perceptible jusque dans le choix de ses « compagnonnages », son estime pour ceux qu’il appelle les « conjurateurs » et la place accordée à notre sens le plus archaïque.