Résumé :Ce qui ne meurt pas n’échappe pas à une implicite comparaison entre peinture et sculpture. Il existe des correspondances, mais surtout une rivalité constante entre peinture et sculpture, entre décor intérieur et extérieur. Les personnages, Allan, Iseult de Scudemor et Camille sont renvoyés à une esthétique picturale résolument romantique ; pourtant la sculpture antique et allégorique ponctue systématiquement les événements majeurs du récit.