Résumé : Cet article vise à compléter l’étude de Frédérique Marro sur « Barbey d’Aurevilly et la force », en arguant de la complexité du cas spécifique du Chevalier Des Touches. Dans la perspective ouverte par Antoine Compagnon d’un dialogue entre la Révolution et la Contre-Révolution (entendue ici avec Joseph de Maistre), celle-ci tient au paradoxe apparent d’un partage de la force entre le masculin et le féminin, que je me propose de lever à partir de la notion de « vertu » — et enfin de virtù (Arendt).