Résumé : Cet article fait porter l’accent sur la puissance paradoxale des paysages aurevilliens, qu’il s’agisse ou non des fictions narratives, qui tient à leur force résurrectionnelle : le vide s’y avère facteur de sens parce qu’il recèle l’empreinte vivace du passé. Dans ce contexte, le thème prégnant de la revenance invite à penser le paysage en termes de métaphysique.