Résumé : Le paysage, quoiqu’il occupe une place marginale dans la critique d’art de Brbey, n’est pas à ses yeux un genre mineur, dès lors qu’il est rehaussé par l’originalité, l’intensité, l’énergie et la spiritualité. Le paysagiste de génie (tel Théodore Rousseau ou Jean-François Millet), dans son affamement de la nature et son acharnement passionné à la scruter et à la peindre, apparaît comme un idéal de l’écrivain-critique ; le paysage, comme le modèle sensible, exigeant, d’une possible écriture.