Résumé : S’il paraît illusoire de chercher à définir une éventuelle « écriture Verticales » dont le singulier écraserait la diversité des pratiques, des modalités d’écriture semblent partagées par un certain nombre d’écrivain.e.s de la maison d’édition : l’écriture dialogique, la pratique du fragment, l’emploi privilégié du présent, autant de formes mises au service de la représentation de l’autre, conçu comme un « individu-collectif ». L’article propose l’analyse de leur mise en œuvre dans deux textes de François Beaune, La lune dans le puits et la vie d’un gérard en occident.