Résumé : Chez Rosenthal, le récit se déroule sensiblement dans l’arborescence d’une écriture qui est une expérience du temps, dans la jubilation même du geste d’écrire conscient de se perdre toujours, autant que se retrouver. Dans On n’est pas là pour disparaître (2009) et Toutes les femmes sont des Aliens (2016), c’est une arborescence où la trace du temps ne se perd pas, qui explore la verticalité paradigmatique de la phrase et son horizontalité syntagmatique dans leurs possibles créateurs.