Résumé : Cet article se propose de voir dans quelle mesure l’amour est un enjeu romantique dans la trilogie de Jean-Claude Izzo qui, de prime abord, apparaît comme une dénonciation de la réalité politique, économique et sociale de la ville de Marseille ; dans ce cas, le crime n’est finalement qu’un prétexte pour s’inscrire dans le genre policier et le véritable leitmotiv de la narration est la quête de l’amour lui-même qui se confond, chez Montale/Izzo avec son profond attachement à sa ville.