Résumé : La transposition, ou « transécriture » du récit gracquien qu’a tentée Michel Mitrani en 1979, avec Un balcon en forêt, est un semi-échec qui permet néanmoins de s’interroger sur ce qui ne peut se substituer à la création verbale. Le film de Mitrani s’enrichit en outre d’un écho avec d’autres films évoquant un havre illusoire au cœur même de la guerre.