Résumé : Il existe des versions différentes du sixième chant de La Morta meditata de Ungaretti par Pierre Jean Jouve : celle de 1931 et celle de 1944. La première est réputée la plus infidèle des deux et Jouve lui-même y renoncera. Son analyse permet de repérer quelques-unes des obsessions stylistiques et métaphysiques du Jouve de 1931.