Résumé : À rebours des critiques souvent radicales de Valéry à l’encontre de l’écriture de soi, le cahier Agar révèle un riche contenu autobiographique, mais sous le couvert de personnages fictifs, notamment ceux de Rachel et de Gozon. Cet article se propose de réfléchir aux enjeux de cette écriture de soi déguisée, qui invite à nuancer les dénégations de l’écrivain tout en illustrant ses réticences à dévoiler son intimité.