Résumé : Traduire, pour Valéry, est un acte de transformation et de transmutation où les mécanismes du perçu, du conçu et du ressenti sont en plein jeu. Et le traducteur ne saurait ignorer que l’art du langage repose, chez Valéry, sur une attention suivie aux détails les plus minutieux dans le cadre de l’organisation d’un texte.
Un extrait de « Rachel » tiré des Histoires brisées de Valéry illustrera ces propos dans la deuxième partie de mon travail.