Résumé : La genèse d’un chantier de Valéry n’est jamais aisée à établir, tant ses pratiques scripturales contribuent à brouiller les indices. Cependant le parcours génétique des « Histoires brisées » se complique d’autant plus que la mort de l’écrivain intervint avant l’aboutissement des textes et que l’édition posthume s’en réalisa selon une composition ayant échappé à son aval définitif. L’examen des indices relevés dans les manuscrits et tapuscrits ne parvient pas à lever toutes les incertitudes.