Résumé : Les représentations de l’enfant condensées en « noyaux d’enfance » sont dotées de caractérisations culturelles et intimes. Persistant dans ses éclats, l’âge de l’enfance n’est pas une étape révolue mais une dimension de l’existence tout entière. Bien plus, cet âge de la vie recèle certains principes d’écriture qui sous-tendent l’art simonien du roman.