Résumé : Le souffle n’entre pas dans des définitions spéculaires du concret, déjouant aussi l’abstraction comme promesse d’une harmonie ultime. Il témoigne d’une part insaisissable de l’existence, qui est aussi le socle du vivant. Il fait signe d’une part d’étrangeté au cœur de l’être parlant, et qui ne connaît pas de fin. Paradoxalement donc, ce qui demeure impalpable est éminemment concret. La seconde partie de cette étude porte sur la pièce emblématique : Souffle.