Résumé : S’il revient sur le sort de la famille royale (Thomas, Chandernagor, Donner), le roman historique privilégie les aspects les plus tragiques de la Révolution, s’intéressant tantôt aux destins des individus pris dans la tourmente, tantôt à la terreur de masse, aux massacres, génocide et fanatisme, dont la Révolution serait la matrice (Monteilhet, Guillaume, Fontenaille, Bigot, Bordage). On y verra un symptôme littéraire de nos interrogations et de nos interrogations renouvelées sur les fondations de notre modernité.