Résumé : Cette conclusion analyse l’importance des notions utilisées pour désigner des phénomènes historiques et spécialement celle de « révolution totale » proposée par Florian Mazel. Elle souligne la différence entre réforme et révolution : les uns veulent une amélioration du système existant, tandis que les autres aspirent à un système nouveau. Les traditions historiographiques nationales et les histoires nationales aboutissent à des interprétations divergentes du moment grégorien des deux côtés du Rhin.