Résumé : Cet article vise à étudier les effets manipulatoires de la présupposition dans Les Contemplations de Victor Hugo. Il cherche à montrer que la présupposition, en présentant un cadre discursif comme déjà connu et partagé, donc comme hors débat et hors doute, s’impose au lecteur. Afin de poursuivre la lecture des poèmes, celui-ci doit croire aux contenus mis en œuvre et doit les éprouver. On souligne aussi que, sous certaines conditions, un effet semblable se produirait par les éléments posés.