[Épigraphes]
- Publication type: Book chapter
- Book: La Poétique de l’écriture-simulacre et les grands modèles
- Pages: 83 to 83
- Collection: Literary Theory, n° 23
- CLIL theme: 4053 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Théorie Littéraire
- EAN: 9782406093961
- ISBN: 978-2-406-09396-1
- ISSN: 2261-5717
- DOI: 10.15122/isbn.978-2-406-09396-1.p.0083
- Publisher: Classiques Garnier
- Online publication: 12-07-2020
- Language: French
Todo en el mundo está dividido en dos partes, de las cuales una es visible y la otra invisible. Aquello visible no es sino el reflejo de lo invisible.
Sohar, I, 391.
Si leemos un libro antiguo es como si leyéramos todo el tiempo que ha transcurrido desde el día en que fue escrito y nosotros.
Jorge Luis Borges2.
1 Cité par J. L. Borges comme un texte de son Libro de sueños (Madrid, Siruela, 1989, p. 317 ; 1re édition : Buenos Aires 1976) sous le titre « El reflejo ». Une traduction française n’est pas disponible. Nous traduisons : « Le monde entier est divisé en deux parties, dont l’une est visible et l’autre invisible. Celle qui est visible n’est que le reflet de l’invisible. »
2 « El libro », conférence du 24 mai 1978, dans Borges, oral, Buenos Aires, Emecé/Belgrano, 1979, p. 13-24 [abrégé dans la suite par BO] ; citation p. 24. Traduction française sous le titre « Le livre » par Françoise Rosset : Borges, Conférences (Siete noches – Borges oral) (1979-1980), Paris, Gallimard (coll. « Folio essais »), 1985, p. 147-158 [abrégé dans la suite par Conférences] ; citation p. 157 : « Quand nous lisons un vieil ouvrage c’est comme si nous parcourions tout le temps qui a passé entre le moment où il a été écrit et nous-mêmes ».