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Classiques Garnier

[Remerciements]

  • Type de publication : Chapitre d’ouvrage
  • Ouvrage : La Poésie palinodique à Rouen (1486-1550)
  • Pages : 9 à 10
  • Réimpression de l’édition de : 2002
  • Collection : Bibliothèque de la Renaissance, n° 44
  • Série : 1
  • Thème CLIL : 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques
  • EAN : 9782812453304
  • ISBN : 978-2-8124-5330-4
  • ISSN : 2114-1223
  • DOI : 10.15122/isbn.978-2-8124-5330-4.p.0004
  • Éditeur : Classiques Garnier
  • Mise en ligne : 04/04/2007
  • Langue : Français
4 «  Écris - pour qui  ? - Pour les morts, pour ceux que tu aimes dans un monde qui fut - Mais me liront-ils  ? - Non  !  »
S. Kierkegaard, Journal, IV, A 126.
Lu dans Herder «  Écris  », dit la voix, [...] «  Pour qui  ?  » La voix dit  : «  Pour les morts, pour ceux qui te sont chers dans un monde qui fut  » - «  Me liront-ils  ?  » - «  Oui...  »
S. Kierkegaard, Journal, III, A 203.
Un travail comme celui qui va suivre est toujours une oeuvre collective, nourrie de rencontres et d'aides, d'éclairages et de regards, préparée par tout ce que m'ont appris mes maîtres et ma famille ; je voudrais saluer ici, tout d'abord, ceux à qui je dois d'avoir entamé des recherches en littérature médiévale  : M. de Combarieu du Grès, D. Poirion, et E. Baumgartner ont accepté de suivre et d'encourager mes recherches, H. Legros les a stimulées ; je leur dois bien des indications et des conseils que j'espère avoir mis à profit.
G. Gros, après son travail sur Le Poète et la Vierge, a eu la gentillesse de m'envoyer sa thèse et m'a invité à l'affiner et à la contredire, ce qui était difficile ; son amitié discrète et attentive a toujours su stimuler et enrichir ma réflexion. Sa thèse a souvent été le guide de mes recherches, l'invitation à une réflexion en contrepoint, souvent citée, mais pas assez encore.
M. Rousse dont la présence amicale et la connaissance immense du milieu rouennais à la fin du Moyen Âge m'ont souvent ouvert des perspectives dont je le remercie particulièrement ; faut-il rappeler la rigueur et la précision de ses relectures, stimulantes et enrichissantes  ?
F. Féry-Hue, et F. Ferrand avaient déjà beaucoup travaillé à la section romane de l'I.R.H.T. quand j'ai commencé mes recherches, et
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elles ont généreusement accepté de me communiquer le fruit de leurs travaux. Mais c'est toute l'équipe de l'I.R.H.T. qu'il convient de remercier, et particulièrement, à la section latine, D. Poirel qui a su répondre avec beaucoup de patience à mes questions théologico-liturgiques, et préciser bien des références patristiques.
Le docteur Jean Fournée, grand spécialiste de la religion en Normandie, a eu la gentillesse de m'envoyer de nombreux articles sur la théologie et l'iconographie conceptionnistes, où il défrichait des pistes que j'ai tenté de poursuivre.
Les conservateurs des nombreuses bibliothèques où j'ai eu à travailler, de l'École Française de Rome qui m'a accordé une bourse de recherches, de la Bibliothèque Nationale qui n'était pas encore de France, de l'Arsenal, des Bibliothèques Municipales d'Alençon, Caen, Carpentras, Cherbourg, Coutances, Rouen, Valognes, du Musée Condé et de la Bibliothèque des Jésuites, tous deux à Chantilly, ont accepté de m'accueillir et ont toujours su répondre avec diligence et amabilité à mes demandes, qu'ils en soient remerciés, comme les responsables du C.E.S.R. de Tours et du Musée du Petit Palais, qui ont répondu si efficacement à mes courriers.
Parmi les amis à la conversation si stimulante, il convient de remercier également J. de Gramont pour sa maîtrise des textes théologiques, D. Plassard, qui a mis à ma disposition sa riche bibliothèque rouennaise, G. Sodigné-Costes qui a toujours su répondre à mes questions sur les sciences au Moyen Âge avec l'amabilité courtoise dont elle sait faire preuve, M. l'abbé Canu, grand connaisseur des familles normandes et de la liturgie, qui a toujours eu la patience de répondre à mes questions, C. Noisette de Crauzat, et I. His qui ont eu la gentillesse de répondre à mes questions sur la musique et les musiciens de la Renaissance, Steve Murphy enfin, l'ami fidèle et l'éditeur exemplaire, et tous mes amis de l'Université de Rennes.
Ajoutons enfin, au seuil de ce livre, tous les lecteurs et relecteurs des pages qui suivent.