Résumé : Dans la continuité du précédent volume sur La poésie archaïque comme discours de savoir, cet ensemble de communications a pour ambition de prendre la mesure des survivances et des innovations qui, chez un Eschyle, un Euripide ou un Aristophane, trahissent les continuités ou marquent les différences qu’il s’agisse des représentations théologiques, politiques, médicales, éthiques, dramaturgiques ou – selon la dénomination que nous leur donnons aujourd’hui – « philosophiques ».