Résumé : Novarina déploie au théâtre une poésie singulière nourrie de l’esprit héraclitéen de l’« union des contraires ». Acribiste inventif, « déséquilibriste » chevronné, il porte à un bout de son balancier une charge composite de textes qu’il brasse en continu, à l’autre des mots qu’il concasse pour libérer leur souffle intérieur. « Poïète appelant », il avance sur le fil d’une vérité poétique qui le mène vers la transcendance.