Résumé : Parce qu’elle lui paraît trop vaste et trop hétérogène, mais aussi parce qu’elle semble induire une hiérarchie entre les textes, la notion de « poésie » inspire à l’auteur des Coréens trop de méfiance pour que lui-même l’ait jamais employée. D’autres catégories critiques ont sa préférence : celles de « parole active » et de « parole instrumentale », ou encore celle de « jonction-collusion-fusion » entre les mots.