Résumé : Avec The Song of the Lark, Willa Cather compose un « roman de l’artiste américaine », dans lequel se trouvent affirmée la légitimité d’un art américain moderne, porté par des femmes comme par des hommes. Le « chant de l’alouette » figure cet art nouveau qui accompagne le travail fécond des laboureurs au contraire du rossignol romantique qui ressasse sa plainte. Il réconcilie aussi deux antiquités : latine, mais aussi américaine, celle des peuples précolombiens.