Résumé : Dans les récits de Malcolm Lowry, les références au cinéma et à la musique jazz témoignent des goûts personnels de l’écrivain, mais aussi, par leur dimension métatextuelle, des orientations de son écriture. Pour autant, le discours sur l’art prend rarement un tour spéculatif : il s’incarne avant tout dans les formes mêmes de l’écriture, qui relève d’une esthétique de la déliaison et du chaos.