Résumé : À travers une comparaison avec Homère, cette contribution suggère que l’art du roman puisse assumer sur soi l’exigence d’une réflexion esthétique générale, aujourd’hui partiellement négligée par les sciences humaines : plus ce dialogue fera défaut dans le monde disons extérieur, plus le roman aura tendance à le faire émerger de son for intérieur en prenant souvent appui sur les autres arts.