Résumé : Le roman de Garufi se construit comme une autobiographie posthume où le narrateur présente la genèse de son œuvre. Sa forme complexe assure l’ambivalence d’une autofiction qui tire vers l’essai. Car l’intrigue se bâtit autour de 15 chapitres fondés sur des références à des essais, des fictions littéraires ou des ouvrages d’art. Les 2500 titres et les 29 œuvres d’art évoqués construisent un dialogue des arts qui de développe nulle réflexion, mais éclaire l’autofiction et son protagoniste.