Résumé : Alors que les compagnies néerlandaises et anglaises se tournent vers des formes modernes d’actionnariat dès le début du xviie siècle, les compagnies françaises semblent plus frileuses à sortir d’un fonctionnement plus « traditionnel » ou bien optent pour un mélange des genres. En France, on préfère le soutien des pouvoirs publics, ce qui permet de sortir du cadre étriqué du droit commercial de l’époque, au risque de freiner la liberté essentielle au développement du commerce international.