Résumé : Pour une grande part, Les Regrets se donnent à lire comme une poésie du quotidien s’écrivant au gré des circonstances de la vie romaine. Soucieuse de détails et d’ancrages référentiels, la critique récente a cherché à identifier ces circonstances et leurs agents : elle a ainsi parfois contribué à masquer le dispositif programmé par Du Bellay dès la mise en recueil des sonnets, celui d’une poésie jouant du particulier et du général, du référentiel et du non-référentiel.