Abstract: Cet article s’interroge sur le contenu des programmes des spectacles équestres proposés par les premiers circassiens de la fin du xviiie siècle, à l’instar du célèbre anglais Philip Astley. Mêlant souvent voltige, travail de dressage, tir à l’arme à feu, maniement d’armes et démonstrations de tactiques martiales, ces programmations disparaissent progressivement au xixe siècle au profil d’autres numéros plus modernes, avant de retrouver une certaine importance à travers les carrousels militaires.