Résumé : Il s’agit de souligner l’articulation des difficultés rencontrées par ceux qui, pendant le siècle qui a suivi sa mort (1623-1722), ont voulu honorer la mémoire religieuse de Paolo Sarpi. Finalement, si le monument de marbre n’a jamais été sculpté, si les autorités ecclésiales ont tenté d’effacer sa tombe, la République des Lettres, au contraire, lui a édifié un mémorial de papier.