Résumé : C’est sans doute le moins clandestin des philosophes de son temps. Dans sa correspondance avec ses éditeurs, il refuse catégoriquement les pratiques de la clandestinité sans pouvoir totalement y échapper. C’est ce souci de son nom qui lui fait rejeter avec indignation de fausses attributions. En revanche, il montre peu de clairvoyance à identifier les écrits anonymes cités par ses amis. Un cas particulier : sa correspondance avec un clandestin avéré dont Deschamps lui inspire une curiosité inquiète.