Résumé : L’attribution du Cymbalum mundi à Bonaventure des Périers a été plus d’une fois mise en doute : l’auteur s’emploie à la justifier. En même temps, il estime que les « mauvaises pensées » politico-religieuses de l’auteur pourraient expliquer l’étrange « omertà » dont il fit l’objet au sein de la sodalitas des lettrés lyonnais, ses contemporains.