Résumé : L’auteur de l’article étudie les allusions et les références à divers écrits du baron d’Holbach dans un manuscrit conservé dans les collections de la Bibliothèque Royale de Bruxelles, les Lettres de Cang-ti, grand mandarin de la Chine, recueillies par Mylord Shaftesbury, écrites par un jeune homme bruxellois, Sébastien Joseph Antoine Cupis de Camargo, lecteur de nombreux autres manuscrits clandestins, qui poussa la logique de son athéisme jusqu’au suicide, à seulement 23 ans.