Résumé : l est communément admis que Diderot professe encore le déisme au début de sa carrière philosophique et même qu’il est possédé d’un véritable « enthousiasme quasi mystique » face aux merveilles de la nature, véritable « temple de la divinité ». L’auteur cherche à réfuter cette interprétation, complétant ici trois publications antérieures portant sur premiers écrits du philosophe, sur l’Essai sur le mérite et la vertu et enfin sur les Pensées philosophiques.