Résumé : La correspondance adressée à Nicolò Franco, polygraphe et polémiste de renom, est retranscrite de la main de l’auteur dans le manuscrit Vaticano Latino 5642. De ce vaste corpus sont extraits quelques exemples éclairants qui prouvent comment les talents de Franco, comme poète satirique et comme épistolier, avaient suscité des imitateurs dans les académies lombardes. Langage enjoué, autodérision, liberté de tons et imaginaire pastoral caractérisent ces échanges.