Résumé : L’article s’attache, à partir d’une analyse des Lettres à Madame Marquise sur La Princesse de Clèves (1678) de J.-B. de Valincour, à la question du discours des passions dans la « Querelle de la Princesse de Clèves ». Le rêve d’un pur langage du cœur affranchi des artifices du style y devient, selon nous, un horizon idéal pour le genre romanesque et engage une reconfiguration de la réflexion rhétorique et linguistique sur l’affectivité.