Résumé : Les réactions d’Aragon, Drieu et Malraux au lendemain de la guerre de 1914 permettent de mesurer la profondeur de l’ébranlement qu’a suscité le conflit, en provoquant une crise de l’idéologie du progrès aux aspects multiples, dont les conséquences se répercuteront dans des interrogations assez voisines pendant les années 20, avant de peser sur leurs engagements divergents dans les années 30.