Résumé : Patriote avant 14, la littérature populaire sert l’effort de guerre, répand la haine du Boche (Leroux, Leblanc). La guerre la marque jusqu’en 1939 : souvenir du conflit, essor du roman d’espionnage ou fantastique. De même pour le roman d’évasion, de forme plus soignée, d’analyse psychologique plus fine (Benoît ou Vercel), qui évolue vers le roman noir et dur (Simenon) ou la satire grinçante (Chevalier).